roses de plaisir, oui elle était heureuse enfin. Finis les jours de tristesse, finies les pleurs. Jean allait tout faire pour la rendre heureuse. Bien sûr les rêves de la jeune femme, son désir d’être une ballerine ne se concrétiserait pas mais elle avait tout le temps de faire ce qu’elle aimait, il le lui avait promis.
Anouchka regarda son mari, avec un regard empli d’amour et de joie. Oui, elle était enfin heureuse et plus rien, plus personne ne pourrait détruire son bonheur. Ils retournèrent vers leur hôtel en se tenant par la main. Ils étaient beaux. Le bonheur faisait briller leurs yeux. Soudain la jeune femme dit à son mari :
« Chéri j’ai encore faim.
«Mais ma douce tu viens de finir de goûter et tu a encore faim ? Et tu vraiment sûre d’être enceinte. J’espère que tu ne vas pas continuer à dévorer comme cela sinon tu vas exploser, dit-il en riant.
« Non je ne crois pas. Mais peut-être que c’est l’air de la mer qui me donne de l’appétit.
Elle rit et ce rire heureux faisait plaisir à entendre.